This essay was a winner in the Art of Writing Fall 2024 essay contest. Students in all Fall 2024 Art of Writing courses were invited to submit writings from those courses for the contest. Sadie Barrett’s essay was written for Professor Vesna Rodic’s Fall 2024 Art of Writing seminar “Reflections on the Natural / Réflexions sur le naturel.” In keeping with the Art of Writing ethos of writing as a teachable art, Sadie reflects below her essay on how she would approach reworking her piece in the next draft.
Dans L’ecole des femmes , écrit par Molière à 1663, il y a beaucoup de représentation des mariages différents à travers le texte. En général, le mariage est un symbole du statut, et un contrat social pour l’arrangement de l’argent et le pouvoir. Cependant, la signification du mariage est différente pour Arnolphe, Agnès, et Horace. Arnolphe voit le mariage comme un moyen d’acquérir du pouvoir social et du respect. Agnes voit le mariage comme un jointure d’amour avec l’importance de la comptabilité du couple. Et finalement, Horace voit le mariage aussi comme un jointure d’amour, mais il comprend aussi l’importance de la sécurité financière dans cette union. La déconstruction des idées du mariage est aussi un reflet de la déconstruction des caractères, comme leurs idées de pouvoir changer comme les relations entre les trois. Pour chaque personne, le mariage représente une valeur différente, et leurs expériences et interactions avec le mariage créent les compréhensions individuelles, spécialement concernant le cocuage, et l’education d’Agnes. L’importance du mariage ne change pas au cours de la pièce, mais la représentation de chaque personnage change.
Pour Arnolphe, le mariage est une manifestation de sa masculinité et statut social. Il attribue une grande partie de sa valeur à son statut matrimonial, ce qui explique pourquoi il était si déterminé à “créer” la femme parfaite pour lui-même. Il voulait garantir qu’il atteindrait le statut social d’un homme marié et gagnerait plus de respect. En acte III, scène 2, Arnolphe explique l’importance du mariage, et le rôle d’Agnès dans leur mariage. Il dit “je vous épouse, Agnès; et, cent fois la journée, vous devez bénir l’heur de votre destinée, contempler la bassesse ou vous avez été, et dans le même temps admirer ma bonté” (lignes 679-682). Cet est un statement extrêmement contrôlé d’Arnolphe, et renforce l’idée qu’il croit que sa masculinité a lui donne beaucoup de pouvoir social. Le fait qu’il s’adresse à Agnès de manière impolie et condescendante montre qu’il ne la respecte pas et qu’il pense avoir le droit de la contrôler en raison du pouvoir et du respect que le mariage lui apportera. Aussi, en acte IV, scène 1, il commence un monologue sur sa frustration à l’égard d’Horace et d’Agnès, en disant: “j’aurai dirigé son éducation avec tant de tendresse et de précaution; je l’aurai fait passer chez moi dès son enfance, et j’en aurai chéri la plus tendre espérance; mon coeur aura bâti sur ses attraits naissants et cru la mitonner pour moi durant treize ans, afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache me la vienne enlever jusque sur la moustache, lorsqu’elle est avec moi mariée à demi!” (lignes 1026-1034), c’est-à- dire, il voit le mariage comme le subordination des femmes pour les désirs des hommes. Cette imbalance de son point de vue du mariage est que développe son désir d’avoir plus de pouvoir d’Agnès. On voit la masculinité fragile d’Arnolphe quand il découvre son cocuage par Horace et Agnès. Pour Arnolphe, le mariage représente le pouvoir et statut social, mais c’est ultimement l’embarrassement de sa vie.
Pour Agnès, le mariage représente les valeurs beaucoup différentes d’Arnolphe. Pour elle, le mariage est une jointure d’amour. Elle croit qu’il y a beaucoup d’importance dans la compatibilité du couple, est c’est extrêmement important d’avoir un mariage aimant avec quelqu’un qui l’aime également et qui la traite correctement. C’est pourquoi elle a choisi Horace pour son mari et pas Arnolphe. À acte II, scène 5, Agnès parle à Arnolphe de la situation du mariage entre Agnès, Arnolphe, et Horace, et elle explique ce qui, dans Horace, l’a fait tomber amoureuse de lui et non d’Arnolphe. Elle dit “il jurait qu’il m’aimait d’une amour sans seconde, et
me disait des mots les plus gentils du monde, des choses que jamais rien ne peut égaler,” (lignes 559-561). Son désir d’avoir l’amour dans son mariage est que fait elle choisir Horace, parce qu’Arnolphe ne peut pas voir l’importance de ça, parce qu’il ne sens pas que les émotions d’Agnès sont importantes. C’est parce qu’ils s’aiment et s’apprécient autant l’un que l’autre qu’elle veut épouser Horace. Arnolphe n’a aucune affection pour elle, mais plutôt du dédain pour sa désobéissance, parce qu’il la considère comme un objet qui lui permet d’obtenir ce qu’il veut. Pour elle, il est extrêmement important d’avoir un mariage avec beaucoup de respect et d’appréciation pour son partenaire. À acte V scène 4, elle parle à Arnolphe de leurs sentiments contradictoires du mariage, ou elle dit “vous m’avez prêché qu’il se faut marier pour ôter le péché” (lignes 1509-1511), suivi de “chez vous le mariage est fâcheux et pénible, et vos discours en font une image terrible; mais, las! Il le fait, lui, si rempli de plaisirs, que de se marier il donne des désirs” (lignes 1516-1519). Cette déclaration souligne leur différences de l’importance du mariage, spécifiquement comment Arnolphe doit une femme pour sa statut social, mais Agnès doit un mari d’avoir un partenaire de vie. Pour Arnolphe, Agnès est simplement une partie de son plan pour obtenir plus respecté par ses pairs, et Agnès ne sera pas complaisant avec ses désirs – un grand thème de féminisme dans cette pièce.
Le mariage est très différent pour Horace que les autres. Il est d’accord avec Agnès en regardant que le mariage est un union d’amour, mais il aussi comprend qu’il est un jointure d’argent et statut économique. Il est aussi vrai que Horace existe à la pièce pour le cocuage d’Arnolphe, et de créer un comparaison entre l’abus de pouvoir par Arnolphe, et l’utilisation responsable du pouvoir pour le bien par Horace. À acte I, scène 4, Horace parle à Arnolphe de son engouement avec Agnes, ou il dit “enfin l’aimable Agnès a su m’assujettir… ce serait péché qu’une beauté si rare fût laissée au pouvoir de cet homme bizarre” (lignes 337-340). Ici, Horace s’oppose à Arnolphe, le décrivant comme bizarre pour montrer la différence de perception d’Agnès. Aussi, ce scene est tres important parce que Horace fait un commentaire ou il explique l’importance de finances dans un mariage, mais aussi leur dangers. Il fait une remarque à Arnolphe, en disant “l’argent est la clef de tous les grands ressorts, et que ce doux métal qui frappe tant de têtes, en amour, comme en guerre, avance les conquêtes” (lignes 346-348). Ici, on peut voir Horace reconnaître l’importance de l’argent dans un mariage pour les deux personnages, mais ils y accordent une priorité pour des raisons différentes. Horace considère l’argent comme une sécurité qui lui permet, ainsi qu’à sa femme, de vivre une vie prospère et heureuse, tandis qu’Arnolphe veut de l’argent par égoïsme, sans se soucier du bien-être de sa femme, si ce n’est de la façon dont elle peut le servir. À la fin, le mariage est un joint d’amour et de finances pour vivre une vie prospère et gratifiante pour Horace.
À travers tout le texte, le mariage est une manière de développer les personnages pour créer un commentaire social de pouvoir et le statut social, et la moralité. Le centre du mariage a été transformé par Arnolphe et Agnès, à Horace et Agnès. Lorsque cela se produit, il y a aussi un changement de pouvoir entre les couples. À acte II, scène 5, on a vu le première fois qu’Arnolphe n’a pas le pouvoir dans le texte. Il parle avec Agnes ou elle dit que “Il disait qu’il m’aimait d’une amour sans seconde, et me disait des mots les plus gentils du monde, des choses que jamais rien ne peut égaler, et dont, toutes les fois que je l’entends parler, la douceur me chatouille et là dedans remue certain je ne sais quoi dont je suis toute émue” (559-564). Ici, le pouvoir et masculinité d’Arnolphe est challengé par l’idée qu’un autre homme puisse être attirant pour Agnès. Ce changement est le début de la déconstruction de sa masculinité au texte. Après ça, le pouvoir social change à Horace et Agnès comme un couple, qui sont synchronisé par les valeurs du mariage. C’est-à-dire, la déconstruction des idées d’Arnolphe conduisent à sa déconstruction du caractère.
Dans L’école des femmes par Molière, le mariage est un élément extrêmement complexe des relations entre les caractères et des thèmes de l’histoire. Le mariage est représenté par les trois personnages principaux: Arnolphe, Agnès, et Horace, qui tous avaient des valeurs différentes de l’importance du mariage. Arnolphe pense que le mariage est un mode d’obtenir un bien statut social, Agnes pense que le mariage est d’avoir un relation d’amour avec son partenaire, et Horace pense que le mariage est un jointure d’amour mais aussi une importante façon d’avoir les finances biens. À travers la pièce, on voit le représentation du mariage comme les thèmes du cocuage et d’éducation d’Agnès, qui représente les différents entre tous les personnages et comment ils sont utilisés dans l’histoire pour représenter ces valeurs différentes. Aussi, la déconstruction des idées d’Arnolphe est reflétée par la déconstruction de son caractère à travers le texte, symbolisant le changement de pouvoir entre les trois. Le structure de ce contrat social est utilisée par Molière pour créer ces interactions entre les caractères comme un commentaire de l’abus de pouvoir et les différences en moralité.
Sadie’s reflections on how she would approach reworking her piece:
En Français—
Quand j’avais écrit mon essai de Molière, j’ai voulu faire attention aux représentations différentes du mariage dans L’Ecole des Femmes. Mon objectif était de explique l’argument pour comment ces représentations différentes créer un commentaire sociale, et comment la déconstruction de l’élément du mariage reflète la déconstruction des caractères. Si je devais réécrire mon essai, je voulerais d’inclure un paragraphe final avant ma conclusion ou je discuterai des représentations du mariage par Arnolphe, Agnès, et Horace ensemble. A mon essai original, je n’inclus pas cet élément, et je crois que c’est un élément important que j’ai manqué. Cet analysis additionnel serait expliqué comment les idées du mariage des chaques personnages est construite par leur éducation, où je comparerai tous les caractères et comment ils ont été élevés. Ce faisant, j’ai pu comparer chaque situation d’éducation, en attirant l’attention sur l’impact de la masculinité, du patriarcat, et des rôles de genre, expliquant l’interprétation du mariage dans L’Ecole des Femmes est déterminée par le climat social dans lequel chaque personnage a été élevé. C’est-à-dire que leur vision du monde a toujours été déterminée dès le début.
Mon absence de cette pièce m’a donné un nouveau sentiment de clarté sur la question. Je crois que mon argument original manque d’un élément de développement plus profond qui pourrait être amélioré et corrigé par les modifications expliquées ci-dessus. En total, je suis très content avec mon essai, et je pense que mon expression pour mes arguments est satisfaisante. Avec les améliorations possibles avec un paragraphe supplémentaire, je pense que mon argument serait encore plus fort, et que la relation entre chaque personnage et leur éducation pourrait être utilisée pour développer davantage mon argument selon lequel la déconstruction du mariage dans L’Ecole des Femmes est assimilée à la déconstruction de chaque personnage.
In English—
When I wrote my essay on Molière, I wanted to draw attention to the different representations of marriage in L’Ecole des Femmes. My objective was to explain the argument for how these differing representations create a social commentary, and how the deconstruction of the element of marriage reflects the deconstruction of each character. If I were to rewrite my essay, I would include a final paragraph before my conclusion where I would discuss these representations of marriage by Arnolphe, Agnès, et Horace together. In my original essay, I did not include this element, and I believe that it is an important factor that I missed out on. This additional analysis would explain how each character’s ideas of marriage are constructed by their upbringing and education, where I would compare the characters and how they were raised. In doing so, I would compare each environment, and bring attention to the impacts of masculinity, the patriarchy, and gender roles, explaining the interpretation of marriage in L’Ecole des Femmes is determined by the social climate that each character was raised in. This is to say their world vision was determined from the beginning.
My time away from this piece has given me a new sense of clarity on the matter. I believe my original argument lacks a deeper element of development that could be improved and corrected by the modifications proposed above. All-in-all, I am happy with my essay, and I think my expression of my arguments is satisfactory. With the improvements possible with an additional paragraph, I think my argument would be even more solid and strong, and that the relationship between each character and their upbringing could be used to further develop my argument that the deconstruction of marriage in L’Ecole des Femmes is equated with the deconstruction of each character.